Quand la télé flingue la profession de conducteur routier !
Enquête exclusive sur M6 rediffusait hier soir un reportage intitulé 'le salaire de la peur" pour reprendre un classique du cinéma. Routier alcoolique, assassin, le métier est présenté comme "à haut risque". Bravo M6, encore une fois, la télé a brossé un sombre tableau du conducteur routier.
"Jamais il n'y a eu autant de camions sur les routes de France !", c'est ainsi que débute l'enquête qui n'a que le nom. Le reportage précise que c'est un métier à haut risque. Le reportage débute par le portrait de Cyrille qui a "toujours rêvé de rouler" et qui n'est jamais chez lui ! Jusque là tout va bien. Mais son chargement de parpeing "laisserait à désirer" selon le pseudo-journaliste. Cyrille sera le routier sympa et réglo du reportage. Car les autres sont des hors-la-loi selon les journalistes. Pour les aider, des contrôles avec l'aide des policiers qui n'hésitent pas user de leur hélicoptère pour "attrapper le routier !". "Débrancher son limiteur de vitesse est une pratqiue courante chez les routiers" ajoute encore le journaliste pour enfoncer le clou.
On aurait espérer voir l'enquête sans commentaire car ce qui fait défaut comme à chaque fois, ce sont les mots qui font mal avec des raccourcis sans que les journalistes n'aient vraiment enquêté ... pas vraiment du journalisme ce genre de reportage !
"Jamais il n'y a eu autant de camions sur les routes de France !", c'est ainsi que débute l'enquête qui n'a que le nom. Le reportage précise que c'est un métier à haut risque. Le reportage débute par le portrait de Cyrille qui a "toujours rêvé de rouler" et qui n'est jamais chez lui ! Jusque là tout va bien. Mais son chargement de parpeing "laisserait à désirer" selon le pseudo-journaliste. Cyrille sera le routier sympa et réglo du reportage. Car les autres sont des hors-la-loi selon les journalistes. Pour les aider, des contrôles avec l'aide des policiers qui n'hésitent pas user de leur hélicoptère pour "attrapper le routier !". "Débrancher son limiteur de vitesse est une pratqiue courante chez les routiers" ajoute encore le journaliste pour enfoncer le clou.
On aurait espérer voir l'enquête sans commentaire car ce qui fait défaut comme à chaque fois, ce sont les mots qui font mal avec des raccourcis sans que les journalistes n'aient vraiment enquêté ... pas vraiment du journalisme ce genre de reportage !